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Laure Daroux
5 septembre 2019

Le cerveau, c’est chaud!

En 1973, les Dr Wendel et Beeb ont trouvé une incidence de 74% de l’hypoglycémie associée à la schizophrénie.

Pourquoi est-ce que je vous parle de Schizophrénie?
Parce qu'il peut être intéressant de se pencher sur la piste métabolique pour accompagner les personnes souffrant de psychose, de dépression, l'anxiété, la neurasthénie...
Toutes ces pathologies ont en commun l'inflammation du système nerveux central (le cerveau).

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Inflammation du système nerveux central
Les substances déclenchant un mécanisme de dépendance* ont toutes un impact sur le circuit de la récompense.Celui qui induit une sensation de satisfaction.
N’avez vous jamais ressenti cette sensation après une cigarette, un aliment très sucré, un bon café...cette sensation d’apaisement, de détente, de bien-être...d’autant plus que vous étiez stressé les minutes qui précédaient?
*sucres, cannabis, caféine, nicotine, alcool et autres drogues...
Le circuit de la dépendance / sucre
Il a été démontré que la consommation d’aliments très sucrés provoquent une activation de cette zone du cerveau.
Si vous êtes atteint de maladie
  1. . neurologiques : parkinson, alzheimer, fibromyalgie...
  • de maladie métabolique : diabète, syndrome métabolique, obésité.. ;
  • de maladie psychique : autisme, psychose, dépression...
  • c’est que vous souffrez d’intolérances alimentaires dont celles dues aux produits laitiers et aux aliments riches en gluten.
    Ces aliments mal digérés passent la barrière intestinale, alors qu’ils ne le devraient pas.
    Les acides aminés qui les compensent se lient aux récepteurs opiacés dans le cerveau et entrainent, entre autres, des troubles du comportement, en plus bien sur de l’effet détente initial.Effet, qui tendra à diminuer inexorablement, poussant à consommer de plus en plus de la substance en cause.
    Ce mécanisme sera ensuite entretenu et aggravé par l’entrée dans le “cercle vicieux” du sucre”, par exemple.
    Nous essayons alors d’échapper à la sensation de manque que la consommation répétée de sucres, de café ou de nicotine (tout comme de cannabis) provoque en nous, et de part les désordres physico-chimiques et hormonaux qu’elle provoque.
    L’addiction stimule alors à outrance la voie du plaisir et dérègle nos capacités de contrôle de l’envie.
    Si le problème n’est pas traité à sa source, arrêter une addiction ne fait que le déplacer vers une autre substance addictive.
    On observe alors des effets en cascade sur la production et l’utilisation des neurotransmetteurs et de certaines hormones.
    Il y a dérèglement de la glycémie, sollicitation accrue de la fonction hépatique et pancréatique, déséquilibre de la flore digestive (ex : candidose, dysbiose), accumulation de toxiques dans les cellules et dans le cerveau (dont les métaux lourds)...
    Il y a donc atteinte du fonctionnement métabolique, de l’utilisation des enzymes digestives, de l’équilibre endocrinien, du fonctionnement nerveux...
    Apparaît ensuite un affaiblissement du système immunitaire, une accumulation de toxiques dans le cerveau, qui de fait favorisent et augmentent le mécanisme d’addiction.
    Et la boucle est bouclée!
    Les dérèglements et les carences s’accumulent!
    A très bientôt pour la suite
    Chaleureusement
    Laure
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Laure Daroux
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